Nous avons déjà évoqué à deux reprises l'affaire de harcèlement moral aggravé de discrimination syndicale frappant l'une de nos collègues directrice d'agence. L'article en question évoquait un phénomène de manipulation perverse assez bien élaboré mais pas suffisamment toutefois puisque, dans une décision circonstanciée et après une enquête sévère, la DIRECCTE (nouvelle appellation de l'Inspection du travail) refusait le licenciement de la directrice de l'agence concernée.