Un million de ruptures conventionnelles ne suffisent pas à désengorger tous les conseils de prud’hommes.
Si certains, comme Marseille, Montpellier ou Dijon, s’en trouvent soulagés, d’autres, à l’inverse, voient croître le nombre d’affaires nouvelles. C’est le cas de Saint-Nazaire, Alès ou Poitiers......
....... À Lille, les juges ont en stock 2 500 affaires (+ 25 % sur trois ans). Les confédérations syndicales, CGT en tête, font d’ailleurs pression sur la chancellerie pour qu’elle octroie plus de moyens humains aux tribunaux du travail.......