En raison de ses mensonges aux salariés trompés par son plan de départ "volontaires", Renault n'aura pas ses 24,5 millions d'euros. Le 15 septembre, la présidente de la commission des Affaires Sociales du Parlement Européen avait envoyé une lettre au PDG de Renault lui enjoignant de trouver une solution pour les départs volontaires de Renault grugés par loi Sarkozy sur les retraites. Carlos Ghosn n'a pas répondu et il en paye les conséquences.